Laurent Chappuis

Cérémonies de funérailles laïques

 

Passage de la vie à la mort et accompagnement du défunt et des siens

 

Les cérémoniesContactez-moi

L’utilisation du genre masculin a été adoptée afin de faciliter la lecture et n’a aucune intention discriminatoire.

Vadimus est une formulation latine qui signifie : Nous allons, ou nous continuons.

Que ce soit sur un chemin invisible aux yeux des vivants ou vers la fin de l’existence, une transition s’opère durant cette étape où l’on rend son enveloppe corporelle. C’est le sens que nous donnons à cette expression : nous allons, vers cette séparation ou transition. Vers la continuité de ce que fut notre vie terrestre.

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A propos

Pourquoi une cérémonie laïque ?

Votre être cher, votre ami ou toute personne qui s’en est allée et dont vous vous occupez de son départ n’a aucune croyance, ni de pratiques envers quelconque religion...

Pour certains ils s’en sont distanciés durant leur vie. Cependant, il reste important pour lui-même et son entourage de pouvoir se retrouver en un lieu où un temps de recueillement lui sera dédié.

Honorer le défunt, retracer sa vie, l’entourer jusqu’à ce moment crucial de la séparation. C’est ainsi que pourra commencer le plus sereinement possible votre travail de deuil. Tous ces rituels / gestes symboliques sont importants et aident les êtres humains à mieux gérer entre autres l’épreuve difficile du passage de la vie à la mort.

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Co-créons…

Tout ce qui sera prononcé et réalisé durant votre cérémonie aura été décidé, revu et approuvé par vous-même.

Surtout dans le monde occidental et depuis le 20ème siècle, beaucoup de questions, de rituels tournant autour du thème de la mort ont été éloignés, négligés, aseptisés voir ignorés. Que l’on soit croyant et religieux, croyant non pratiquant, théiste, éloigné d’une église quelconque, agnostique, athée ou autre, le monde moderne a pratiquement mis de côté ou relégué ailleurs notre finitude très loin de nos pensées, de manière que, très souvent, les êtres humains y repensent soudainement, violemment, lorsque que la mort vient frapper à la porte d’un être cher. Alors que, sur certains continents, des peuples n’ont pas construit une telle fracture entre la vie et la mort quand celle-ci survient, et est gérée différemment que sous nos latitudes, d’une manière simple et naturelle rappelant que la mort fait partie intégrante de la vie.